mardi 25 janvier 2011

L'amour, un sentiment mystérieux...

Mise-à-jour de mon blog Hypermediadisc! Je vous rappelle que ce blog est conseillé à un public majeur et averti...


(Image: extrait)

5 commentaires:

Benissa a dit…

Merci de nous prévenir, je regarde de temps en temps et c'est vrai qu'il n'y avait rien de nouveau. Elle me plait bien à moi aussi cette femme robot finalement... peut-être parce que le visage est humain. Pour le reste, avec les progrès de la médecine et toutes les prothèses qu'ils inventent, on va peut_être finir comme çà après tout. Allez, je plaisante, bonne journée.

Benissa a dit…

J'ai plaisanté ce matin, mais je me demande si l'amour ne perd pas de plus en plus de son mystère... tout va trop vite de nos jours et il me semble que l'amour a besoin de temps.On confond prend pour de l'amour le désir, le plaisir, toutes choses qui vont vite, que l'on peut satisfaire rapidement. L'amour a besoin de confiance, de connaissance de l'autre, c'est un sentiment qui se développe, qui prend son essor, qui mûrit, qui grandit... aujourd'hui on n'attend plus, il faut tout tout de suite et c'est fini avant d'avoir commencé... cela ne dure plus pour les jeunes générations, et ils ont l'air d'en avoir accepté le principe. Dommage.

Claude Bartlett a dit…

Bonjour Benissa! Tu as raison! Mais pourquoi aime-t-on quand on ne le devrait pas?...c'est surtout en cela que je le trouve mystérieux...

Benissa a dit…

Tu poses là toute la question de la complexité de l'âme humaine... et tout d'abord, sait-on si l'on aime? à partir de quoi le savons-nous? n'y a-t-il pas de risque d'aimer l'idée même d'être amoureux? d'aimer cette euphorie, ce sentiment de légèreté et de bonheur à l'idée d'être amoureux? est-ce suffisant pour affirmer aimer un autre être? pourquoi aime-t-on quand on ne le devrait pas... cela remonte à Eve... le fruit défendu! et, depuis l'enfance on fait des choses que l'on ne devrait pas... nous sommes ainsi faits, nous, les humains: ce qui nous semble inaccessible reste paré de qualités qui nous font fantasmer. Je crois que cela rejoint aussi la citation que tu as notée en titre d'un article récemment: "un bonheur ne peut pas être complet tant que la peine n'y entre pas pour quelque chose. " C'est le même genre de mystère. Nous sommes des êtres compliqués... n'est ce pas?

Claude Bartlett a dit…

Eh oui Benissa...Complexe, ambigüe, paradoxale...