mardi 16 juillet 2013

Tu peux danser sur la tête, c'est comme cracher dans un violon

"Ainsi dans l'obscurité, je découvre le corps blessé de ma belle. Autour de moi, le vide, pourtant une légère odeur nauséabonde me harcelle les narines; le rôdeur n'est pas loin, l'assassin, le fou, ce bourreau des cœurs sans pitié a pris la fuite !  Pour retrouver la trace de ce monstre infâme, Il ne me reste plus qu'à rendre visite à tous les endroits malfamés de la ville..."  
L'œuvre de Silvia Grav... comme un roman noir ! 





(Image: extrait)

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